Catégorie : 6-Histoires

Mon histoire du dimanche

J’aimerais vous raconter une parabole – une histoire :

Cette parabole dit qu’un jour, lors d’un cours de poterie, le professeur entra dans l’atelier et annonça aux élèves :

« Tous ceux qui sont assis à ma droite formeront un groupe. »

« Je vous confierai 15 kg d’argile. »

« Votre mission sera de façonner autant de vases uniques que possible. Votre objectif est donc la quantité. »

Puis le professeur se tourna vers l’autre moitié de la classe.

« Tous ceux qui sont assis à ma gauche formeront un deuxième groupe. »

« Je vous confierai aussi 15 kg d’argile. »

« Votre mission sera de façonner un vase, qui soit le plus beau et le plus parfait possible. Votre objectif est donc la qualité. »

« Je vous laisse 6 mois pour réaliser ce projet. »

Après 6 mois, le professeur vint inspecter les vases créés.

Les élèves du groupe qualité avaient disposé leur « vase parfait » sur un guéridon.

Les élèves du groupe quantité avaient disposé leurs nombreux vases sur une immense bibliothèque. Sur le rayonnage du bas se trouvaient leurs créations du premier mois – maladroites, difformes, et peu nombreuses.

Sur les rayonnages à hauteur de la ceinture, se trouvaient des vases plus récents. Ils étaient plus remplis que les rayonnages du bas. De mois en mois, les élèves étaient capables de produire de plus en plus de vases – leur savoir-faire avait progressé.

Mais de façon surprenante, ces vases plus récents étaient également plus harmonieux et réussis.

Sur le rayonnage du haut se trouvaient leurs créations les plus récentes. Le rayonnage était plein à craquer, tant ils avaient produit de vases durant le dernier mois.

Le professeur monta sur une échelle, saisit l’un des vases les plus récents, et le plaça sur le guéridon, à côté du « vase parfait » du groupe qualité.

Toute la classe fut ébahie tant le contraste était fort :

Le « vase parfait » était sans conteste moins beau, moins harmonieux et moins réussi que le vase récent du groupe quantité.

Le professeur demanda aux élèves du groupe quantité :

« Avez-vous abandonné votre objectif de quantité pour faire de la qualité ? »

Les élèves répondirent :

« Non, non, nous n’avons pas changé de méthode, ni d’objectif. Mais, nous avons remarqué que nous avons augmenté notre capacité de production de mois en mois. »

Les élèves ajoutèrent :

« Mais, Professeur, comment est-il possible que nous ayons produit un chef-d’œuvre sans le vouloir ? »

Le professeur répondit, avec un sourire entendu :

« En continuant d’aller de l’avant, sans être arrêtés par les erreurs, vous avez parfait votre art, au point de créer un chef-d’œuvre. »

« À présent appliquez cette méthode dans vos vies. Allez de l’avant avec enthousiasme. Ne restez pas bloqués sur vos erreurs. N’ayez crainte de vous tromper. N’espérez pas produire quelque chose de parfait du premier coup. »

Je vous remercie de votre visite et je vous souhaite un bon dimanche. Avez vous déjà pensé à vos projets pour la nouvelle année 2021 ; moi oui ,je veux transformer mon intérieur en OR MENAGER.

    Mon histoire du jour

    Un vieux grand-père, alors que son petit-fils rentre de l’école rempli de colère parce qu’un camarade de classe lui a fait du tort, disait :

    « Laisse-moi te raconter une histoire. Moi aussi, j’avais parfois beaucoup de haine envers les gens qui me faisaient du mal sans jamais ressentir aucun remord. Mais la haine te détruit et n’a aucun effet sur ton ennemi.

    C’est comme boire du poison en espérant que ça tue ton ennemi. J’ai dû lutter contre ces sentiments de nombreuses fois dans ma vie. »

    Il poursuivit :

    « C’est comme s’il y avait 2 petits bonshommes qui vivent en moi. L’un d’eux est gentil et ne fait jamais de mal. Il vit en paix et harmonie avec son entourage et n’agresse jamais sans raison. Il ne se battra seulement que quand c’est justifié, et ce, de façon loyale. »

    « L’autre bonhomme, par contre, est rempli de haine. Il se met hors de lui pour un rien. Il agresse les autres comme ça, sans raison apparente. Il est incapable de raisonner, tellement sa haine et sa colère sont grandes.

    Ce fut très difficile pour moi de vivre avec ces 2 bonhommes à l’intérieur car chacun d’eux lutte pour contrôler mon esprit. »


    Le petit garçon regarde intensément son grand-père dans les yeux et demande :

    « Lequel a gagné, grand-père ? »

    Le grand-père répondit :

    « Celui que j’ai nourri »

    Auteur inconnu

    Et vous ? lequel nourrissez vous ?

    Voici la citation du jour :

    « Qui veut changer trouvera toujours une bonne raison pour changer »

    De : André Maurois

    Merci pour votre visite et je vous souhaite un bon week-end. Avant de vous quitter aimeriez vous savoir comment transformer votre intérieur en OR MENAGER ?Si oui laissez moi un commentaire.

      Qu’est ce qui peut arriver de pire

      « La pire des choses qui puisse arriver ? Peut-être bien que non ! »

      Il était une fois un village qui avait parmi ses habitants un vieil homme très sage. Les villageois avaient confiance en cet homme pour leur fournir les réponses à leurs questions et soucis.


      Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit d’un ton alarmé :
      « Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient d’arriver. Mon bœuf est mort et je n’ai plus d’animal pour m’aider à labourer mon champ ! N’est-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? »
      Le vieil homme sage répondit « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».


      L’homme furieux retourna au village et rapporta à ses voisins que le sage était devenu fou. Bien sûr que c’était la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça .


      Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu près de la ferme de l’homme. Parce qu’il n’avait plus de bœuf sur lequel compter, il eut l’idée d’attraper le cheval pour remplacer son bœuf et c’est ce qu’il fit.
      Comme le fermier était heureux ! Labourer le champ n’avait jamais été aussi facile. Il retourna voir le sage pour s’excuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bœuf n’était pas la pire des choses qui pouvait arriver. C’était une bénédiction cachée !


      Je n’aurais jamais capturé mon nouveau cheval si cela ne s’était pas produit. Vous devez admettre cette fois que c’est la meilleure chose qui puisse survenir ».
      Le sage répondit une fois encore « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. C’est sûr, le vieux sage était à présent devenu complètement fou.


      Mais, de nouveau, l’homme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans l’incapacité de faire la récolte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ».


      Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval n’était pas la pire des choses qui puisse m’arriver ? Vous aviez encore raison.


      Mon fils est blessé et se trouve dans l’incapacité de m’aider pour la récolte. Cette fois je suis sûr que c’est la pire des choses qui puisse m’arriver. Et vous devez en convenir cette fois. »


      Mais tout comme il l’avait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui répondit : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».
      Enragé que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village.


      Le jour suivant, des soldats arrivèrent pour enrôler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste d’éclater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village à ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sûrement.


      Morale de l’Histoire
      La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante.
      La vérité est que nous ne savons jamais ce qui va se passer – nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec d’autres situations passées qui ne sont probablement pas le reflet du futur.
      Un optimiste voit des opportunités dans les difficultés.

      Je vous remercie de votre visite et j’espére que cette histoire vous a plu.

      Quels conseils aimeriez vous recevoir pour améliorer le style de votre vie? Si oui laissez vos messages dans la rubrique ‘ » commentaire » ou remplissez le formulaire « contact » en me donnant vos appréciations.

        Le soulier de JEAN MARIE

        « Le Soulier de Jean Marie »

        Enfoncant dans les poches de sa culotte ses mains glacées,

        Jean Marie, qu’on avait envoyé en commission à Saint Geniès,

        s’en revenait à la ferme d’Estacobiau.

        Devant lui, sur le chemin tout craquant de givre, trottinaient

        deux petits garçons de son âge, bien vêtus, bien chaussés, avec un

        bon béret enfoncé sur les yeux, et tout autour du cou, un cache-nez de

        tricot : car on était au cœur de l’hiver.

        Ceux là revenaient de l’école : on le voyait au petit sac de cuir

        qu’ils portaient en bandoulière sur l’épaule gauche. Lui, Jean Marie,

        ne connaissait pas un pareil luxe et n’avait pas le temps d’aller à

        l’école.

        Mener aux champs les oies et les dindons d’Estacobiau, les

        empêcher d’aller faire du dégât dans les terres labourées, leur écraser

        le matin les « patanos » avec la farine de maïs, c’était toute la science

        de Jean Marie.

        Marchant vite pour se réchauffer, il rattrapa les écoliers.

        « Eh ! Adieu, Jean Marie ! » Cria l’un d’eux.

        Au même moment, le son joyeux et grêle des cloches de Saint

        Geniès se fit entendre

        « C’est pour Noël », dit Julien, le plus grand des deux garçons.

        Les cloches nous disent : « N’oubliez pas ce soir de mettre vos souliers

        dans la cheminée ! »

        La conversation s’engagea entre les trois enfants.

        Jean Marie, qui n’avait jamais entendu parler de souliers dans

        la cheminée, se renseignait et les autres prenaient plaisir à l’instruire.

        « Mais qui donc met les bonnes choses dans les souliers ?

        demandait-il, très intéressé.

        — On ne sait pas trop, fit Julien. Les uns disent le bonhomme Noël ;

        les autres, le petit Jésus.

        — E puis, remarqua Marius un gros joufflu qui n’avait pas

        plus de cinq ans, qu’est’ e que ça fait, pourvu qu’on trouve du bon ?

        — Bien sûr ! approuva Jean-Marie. Et alors… tout le monde

        trouve quelque chose dans les souliers ?

        — Excepté les désobéissants et les menteurs, à ce que dit

        maman. Moi, j’ai toujours trouvé quelque chose. »

        Ceci fut dit avec une noble fierté.

        De nouveau seul sur le chemin, Jean Marie songeait.

        Trouver des noix, du chocolat, des dragées dans un soulier,

        quelle belle chose ! Des dragées, il n’en avait mangé qu’une fois

        dans sa vie, mais il en avait gardé le goût au bout de la langue.

        Et pourquoi n’essaierait-il pas, lui aussi ? Marius avait dit : excepté les

        désobéissants et les menteurs.

        Or Jean Marie était bien sûr de n’être ni l’un ni l’autre. Le jour

        où il avait cassé la terrine des dindons, quand on lui avait demandé

        qui avait fait ce malheur, il avait répondu que c’était lui, malgré sa

        grande peur d’être grondé et Mme Espagnac, la fermière, lui avait

        pardonné sa maladresse en faveur de sa franchise.

        Mais quoi ! Tout à coup Jean Marie s’est arrêté.

        L’œil agrandi, la bouche ouverte, il contemple avec une sorte

        d’effroi le bout de ses pieds nus. Comment mettra-t-il ses souliers

        dans la cheminée, lui qui n’a pas de souliers ?

        Il ne se souvient pas d’en avoir jamais eus, et jusqu’ici cela lui

        a été bien égal : la peau de ses pieds s’est durcie comme une semelle,

        il ne sent pas les cailloux de la route.

        Mais ne pas pouvoir mettre son soulier dans la cheminée,

        quel malheur ! Jamais comme en ce moment l’orphelin n’a senti sa

        senti sa misère : son cœur se gonfle, il va pleurer.

        Non, cependant. Jean Marie est courageux, habitué à se tirer d’affaire

        dans les cas difficiles. Il n’est pas sot non plus ; et voilà qu’une

        idée se présente à son cerveau. Des souliers, on en trouve quelquefois

        dans les fossés, le long des haies… Oh ! Pas des souliers neufs, pour

        sûr mais le bonhomme Noël, qui descend dans les cheminées, les

        mains pleines de cadeaux, ne doit pas regarder à cela. Il doit savoir

        que quand on est pauvre, on n’a pas toujours des souliers neufs à sa

        disposition…

        De ses yeux de sept ans, Jean Marié inspecte les bords du

        chemin. Sur les berges garnies de ronces, dans les fossés boueux, sous s

        les touffes d’églantiers, il tâte, il fouille… et voilà que tout à coup son

        regard brille : il a trouvé ce qu’il cherchait.

        Pourtant cet objet sans forme ni couleur, dont un chiffonnier

        ne voudrait pas, mérite t-il encore le nom de soulier ? N’importe. Le

        petit garçon le serre dans ses bras avec amour. En cinq minutes il est

        à la ferme d’Estacobiau.

        Dans un coin de la grande cheminée où flambe un feu de souches,

        il a placé le vieux soulier.

        Et maintenant, tout en pelant les pommes de terre pour le dîner

        du soir, il le surveille du coin de l’œil : on ne le voit pas trop dans cet

        angle un peu obscur Jean Marie fait des voeux pour qu’il échappe

        aux regards vigilants de Mme Espagnac.

        Celle-ci justement, voulant remettre de la braise sous le pot où

        cuit la soupe, s’approche du feu : pour se donner du cœur,

        Jean-Marie joue à la « baloche » de Montastruc.

        « Qu’est ce que c’est que cette saleté ‘là ? s’écrie la fermière.

        Qui est ce qui m’a traîné cette vieille semelle dans le coin de la

        cheminée ? C’est toi, Briquette ! »

        Un coup de pied à l’innocente petite chienne, qui le reçoit sans

        protester. Puis Mme Espagnac attrape le vieux soulier du bout de ses

        pincettes et l’envoie se promener dans la cour.

        Le nez sur les pommes de terre qu’il épluche, Jean Marie se garde bien

        de souffler.

        « J’irai le rechercher tout à l’heure, » se dit-il. Sa besogne

        terminée, il sort doucement. Retrouver le soulier, c’est bien facile :

        ce qui l’est moins, c’est de s’en servir. Le replacer où il était, il

        n’y faut pas songer à présent : Mme Espagnac est une bonne femme,

        mais qu’il faut se garder d’impatienter. Cependant il n’y a pas dans

        la ferme d’autre cheminée que celle de la cuisine. Venir ce soir à tout

        petits pas, quand tout le monde sera couché, remettre le soulier ? Mais

        Mme Espagnac se couche si tard ! La savate à la main, le pauvre petit

        reste là, bien perplexe…

        « Eh ! Bonsoir, Jean Marie ! » Dit une petite voix tout près de lui.

        Levant la tête, il a reconnu Marguerite, ordinairement appelée

        Margalidou : c’est la fille unique de M. le maire, une jolie petite fille

        de six ans. Presque chaque jour, elle vient avec sa bonne à l’heure où

        l’on trait les vaches, chercher le lait. Elle est gentille et a toujours un

        mot aimable pour le petit pâtre d’Estacobiau, qu’elle plaint de tout son

        coeur en pensant qu’il n’a plus de maman.

        Et tout à coup la pensée vient au petit garçon de confier ses

        soucis à Margalidou : qui sait si elle n’aura pas une bonne idée ?

        Bien sûr, elle mettra ce soir dans la cheminée ses mignonnes petites

        bottines.

        Tandis que de nouveau la cloche argentine de Saint Geniès

        annonce la fête, joyeusement, les deux enfants causent à voix basse.

        « Rien de plus aisé, Jean Marie, a dit Margalidou. Donne-moi

        le soulier. Ce soir je le mettrai près du mien dans la cheminée de

        maman. Chez nous, pas de danger qu’on te le jette par la fenêtre,

        pauvrot ! Demain matin, tu viendras voir, et j’espère bien… »

        Mais chut ! voici la bonne avec le pot au lait. La petite fille

        court la rejoindre, emportant sous son grand manteau tout l’espoir de

        Jean Marie.

        … Qui fut bien surprise, ce soir là, ce fut la mère de Marguerite,

        en trouvant dans sa cheminée, près des fines chaussures de sa fille,

        Un informe soulier tout éculé. Tout naturellement, elle interrogea.

        Or, Margalidou n’avait pas de secrets pour sa maman : sans

        nulle difficulté, elle raconta l’histoire du petit pâtre d’Estacobiau.

        « Vois-tu, ajouta-t-elle en finissant, j’ai demandé au petit Jésus

        de partager en deux ce qu’il avait l’intention de me donner. Penses-tu

        qu’il voudra bien mettre la moitié de mes cadeaux dans le soulier de

        Jean Marie ? »

        Obligée de se détourner pour essuyer une larme, la maman ne

        répondit pas aussitôt. Quel beau Noël Margalidou lui procurait sans

        y penser ! Car rien ne réjouit plus un cœur de mère que de trouver la

        bonté dans celui de son enfant.

        « Oui ma chérie, oui, dit-elle en embrassant la petite fille, je

        suis sûre qu’il le voudra ! »

        Le lendemain de bonne heure, le petit berger s’en vint sonner

        chez M. le maire. Bien poliment, le béret à la main, il venait demander

        des nouvelles de son soulier. La bonne avait des ordres et le conduisit

        dans la chambre où l’attendait Margalidou. Bien doucement, on leva

        le rideau de la cheminée…

        « Viens voir ! Viens voir ! » Criait la petite fille, battant des

        mains.

        Mais Jean Marie, la bouche ouverte, semblait paralysé de

        surprise et de joie. Le vieux soulier tout éventré débordait de pralines

        et de sucres d’orge. De plus, tout au milieu des friandises, — et si

        grosse que le pauvre petit n’en avait jamais vu de si grosse ! — on

        voyait briller une pièce d’argent.

        Si tu fais l’effort de rendre chaque jour rendre une personne heureuse

        par ton action, aussi petite soit-elle, ta vie deviendra une succession

        de bonheur infinie.

        « Un enfant à qui on enseigne la bonté, est un trésor qui ne périra jamais »

        Un grand merci d’avoir lu mon article !Si vous voulez transformer votre INTERIEUR en OR MENAGER cliquez sur ce lien et laissez vos coordonnées pour que je puisse vous donner d’autres infirmations et vous envoyer une petite video explicative

        https://robertkucera24-my-cheetah-website.cheetah.builderall.com

          Mon histoire du dimanche

          « La personne qui fait obstacle à votre évolution dans la société »
          Un jour au travail, le patron demande à un de ses employés
          de venir dans son bureau pour une discussion. Le parton
          dit à l’employé…

          “La personne qui a fait obstacle à votre
          évolution dans cette société est dans la pièce à côté

          L’employée fût surprise… elle se demandait qui était
          cette personne qui lui avait fait une si vilaine chose ?

          Qui a pu faire obstacle à son évolution dans la société ?

          Le patron a continué sa conversation en disant qu’il
          était très important qu’elle se confronte directement
          avec cette personne.

          Elle devenait très curieuse et pénétra dans la pièce à côté.

          Quand elle entra dans la pièce, elle fût choquée, sans
          voix et silencieuse comme si quelqu’un avait touché la
          partie la plus profonde de son âme.

          Pouvez-vous deviner qui elle a-t-elle vu dans la pièce ?

          Il y avait une pièce vide avec un grand miroir et un panneau à
          côté de lui.

          L’employée a regardé dans le miroir et a lu le panneau qui disait …

          « Il n’y a qu’une seule personne qui soit en mesure de fixer des
          limites à votre évolution: c’est VOUS. »

          Vous êtes la seule personne qui peut révolutionner votre vie …
          qui peut influencer votre bonheur, votre réalisation et votre succès.

          VOUS êtes la seule personne qui peut vous aider.

          ***La Leçon

          Votre vie ne change pas quand d’autres changent …
          les changements de partenaires, lorsque votre entreprise
          change.

          VOTRE VIE CHANGE QUAND VOUS CHANGEZ,

          – quand vous allez au-delà de vos croyances limitatives,
          – quand vous réalisez que vous êtes le seul responsable de votre vie

          La relation la plus importante que vous pouvez avoir est
          celle que vous avez avec vous-même!

          Le monde est comme un miroir: il vous renvoie le reflet
          des pensées dans lesquelles vous avez fortement cru.

          Le monde et votre réalité sont comme des miroirs
          accrochés au mur, qui vous montrent la possibilité
          d’imaginer et de créer votre bonheur et votre succès.

          C’est la façon dont vous faites face à la vie qui fait la différence.

          Alors, apprenez à créer quotidiennement la vie qui vous ressemble,
          une vie plus riche, une vie plus heureuse.