Catégorie : 6-Histoires

Mon rêve

voici mon rêve de cette nuit: un promeneur rencontre sur son chemin une personne qui fait la manche il lui donne un euro en lui disant de ne pas dépenser cet argent en cigarette ou en alcool mais d’aller dépenser cet argent en profitant d’un bon repas.
que pensez vous de cette histoire ?

Voici mon opinion :si tout le monde faisait cette action il y aurait moins de misère dans le monde.

Histoire du jour

Aujourd’hui je vous propose une jolie histoire écrite par Stéphane et qui m’a beaucoup plu.

Quand elle regarde droit devant, Florence Chadwick ne voit rien d’autre qu’un épais mur de brouillard. Son corps est tout engourdi.

Elle a nagé pendant presque seize heures.

Elle était déjà la première femme à traverser la Manche dans les deux sens. Aujourd’hui, à 34 ans, son but est de devenir la première femme à nager de l’île de Catalina à la côte californienne.

Ce matin du 4 juillet 1952, la mer est comme un bain de glace et le brouillard est si dense qu’elle a du mal à distinguer les bateaux de soutien qui l’accompagnent. Des requins foncent vers sa silhouette solitaire avant d’être chassés à coup de carabine.

Pendant des heures, elle lutte contre le froid glacial de l’océan qui l’emprisonne tandis que des millions de téléspectateurs l’observent en direct sur une chaîne de télévision nationale.

Dans un des bateaux qui l’accompagnent se trouvent sa mère et son entraîneur qui lui envoient des encouragements. Ils lui disent que ce n’est plus très loin.

Mais tout ce qu’elle pouvait voir est le brouillard.

Ils l’exhortent à ne pas abandonner. Florence n’a jamais abandonné. . . jusqu’à cet instant. Alors qu’il ne lui reste plus qu’un demi-mile à parcourir, elle demanda qu’on la sorte de l’eau.

Quelques heures plus tard, encore toute transie de froid, elle confiait à un journaliste :

« Ecoutez, je ne cherche pas à me justifier, mais si j’avais pu voir la terre, je serais allée jusqu’au bout ».

Ce n’était ni la fatigue ni l’eau glaciale qui a eu raison d’elle. C’était le brouillard.

Elle était dans l’impossibilité de voir son but.

Deux mois plus tard, elle essaya de nouveau. Cette fois-ci, malgré le même brouillard épais, elle nagea avec une foi intacte et son but clairement visualisé dans son esprit.

Elle savait que quelque part derrière le brouillard se trouve la terre ferme. Et cette fois-ci elle réussit !

Florence Chadwick devint la première femme à traverser la mer de Catalina, pulvérisant ainsi le record masculin de deux bonnes heures !

Même si vous ne pouvez pas voir votre but avec vos yeux, vous pouvez toujours le voir avec votre esprit. Que ceci soit la force qui vous amène là où vous désirez aller !

Voici la citation du jour :

« Aux grandes âmes, les grands challenges »

De : Anne Marquier

Pour terminer cette article j’ai une question à vous demander : aimeriez vous connaitre un plan B pour augmenter votre pouvoir d’achat ,simplement en changeant vos modes de paiement ?? si oui laissez moi un commentaire.

Leçon d’humilité

J’ai rencontré un ancien camarade de classe, *nous ne nous étions pas vus depuis environ* 30 ans. *Le Seigneur a été gentil avec moi.
Quand je l’ai revu, cette fois dans le hall d’un hôtel,* il avait l’air simple. *Il portait une simple tenue d’Ankara.* Je me sentais touché.
Il s’est approché de moi et était heureux de me revoir. Mais au fond de moi je n’étais pas impressionné par son statut par rapport au mien et pauvre de moi, je ne pouvais pas le cacher.
Nous avons échangé les coordonnées et j’ai pu voir la joie en lui alors qu’il récupérait les miennes.
Je lui ai dit que je le déposerai chez moi dans mon tout nouveau *Range Rover* en la lui montrant. Il a refusé et a dit qu’il avait déjà appelé sa voiture. Il avait l’air vieux *une Honda Accord 2001*.
Je l’ai invité le lendemain pour déjeuner chez moi. Une partie de moi voulait l’impressionner *, pour lui montrer mon succès et ma richesse*, tandis qu’une autre était de discuter des opportunités et éventuellement de l’aider.
Il a conduit jusqu’à Parkview où j’habitais. *Il avait l’air impressionné par ma maison. *J’avais contracté une hypothèque lourde. *En fait, j’étais lourdement endetté.

*Nous avons déjeuné.
Il m’a dit qu’il aimait les petites entreprises et particulièrement l’immobilier. J’ai évoqué plus de discussions commerciales, mais il ne semblait pas trop intéressé.
Je lui ai demandé comment je pouvais l’aider. Il a dit qu’il allait bien. Je lui ai même dit que s’il était intéressé, je pouvais l’aider à obtenir des prêts … Il m’a regardé et a souri. Il m’a dit qu’il m’inviterait bientôt chez lui.
Sa vieille voiture est venue le récupérer. J’étais reconnaissant à Dieu pour ce que j’avais. * »Les doigts ne sont pas tous égaux »,* je me suis dit … j’ai eu de la chance. J’ai travaillé dans un bon endroit.
Deux semaines plus tard, nous sommes allés le voir à Kitisuru, ma femme et moi. Elle hésitait à y aller parce qu’elle n’était pas impressionnée par le statut de l’homme quant à la nécessité de lui rendre visite dans sa maison.
J’ai pu la convaincre que nous étions des amis proches au collège.
Nous avons vu le domaine. Nous avons demandé des indications pour son domicile. Ceux qui nous ont conduits ont prononcé son nom avec déférence.
C’était une maison simple mais charmante.
Un bungalow de 4 chambres. J’ai vu 4 voitures garées devant.

Nous sommes entrés chez lui. C’était tout simplement élégant avec une touche de classe à l’intérieur.
Il nous a chaleureusement accueillis. Le déjeuner était bien servi. Sa femme l’a appelé Baba Gweth.
Pendant le déjeuner, il a posé des questions sur mon MD (certainement le Directeur en charge du Marketing). Il a dit qu’ils étaient amis.
J’ai vu un cadeau d’entreprise sur l’une de ses tables à proximité. Cette entreprise détenait environ 38% des actions où je travaillais.
Je l’ai interrogé à ce sujet. Il a souri. *Il m’a dit qu’il était propriétaire de l’entreprise.*
Il était également propriétaire du domaine.Je l’ai appelé Monsieur sans m’en rendre compte… J’étais aussi impressionné par lui.
J’avais appris une leçon d’humilité, une grande. *Les apparences sont trompeuses.*
Il a remarqué mon inconfort.
En rentrant chez moi, j’étais très calme. Ma femme était humiliée et extrêmement calme.
Je pouvais percevoir les pensées dans son esprit. Je me suis regardé. Vivre avec des prêts, des prêts lourds et exhiber pendant que quelqu’un qui paie mon salaire est assez modeste et mène une vie simple!

Leçon de cette histoire

Combien de personnes vivent au dessus de leurs moyens, mais se moquent toujours des autres?

Combien de personnes vivent exclusivement des prêts pour financer leur confort perçu, dans le simple but de donner l’impression d’être riche? 

La vraie richesse n’est pas exhibée, elle se traduit simplement dans la simplicité, la tranquillité de l’esprit, la joie de vivre, et surtout, la modestie. 

Comme tu vient de le voir dans cette histoire, la personne que tu regarde avec dédain, est peut-être celui qui paie ton salaire. 

Car, des rivières plus profondes coulent dans un silence majestueux*!

Alors, Ajustez votre perception envers les autres.

Un très grand merci pour votre visite!

J’espère que cette histoire vous a plu alors partagez la avec vos amis et sur les réseaux sociaux.

Je vous invite aussi à vous abonner à mon blog pour recevoir mes prochains articles.

Encore une question quel sujet aimeriez vous voir traiter ici.

    Comment se protéger

    Aujourd’hui j’ai envie de vous raconter une très courte histoire qui va vous protéger contre la négativité des autres personnes…

    Un jour, quelqu’un vint voir Socrate et lui dit :

    – Écoute Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s’est conduit.

    Arrête ! Interrompit l’homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?

    – Trois tamis ? dit l’autre, empli d’étonnement.

    – Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu a as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est de celui de la Vérité. As-tu contrôlé si ce que tu as à me dire est vrai ?

    – Non; je l’ai entendu raconter, et …

    – Bien, bien. Mais assurément, tu l’as fait passer à travers le deuxième tamis. C’est celui de la Bonté. Ce que tu veux me dire, si ce n’est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon ?

    Hésitant, l’autre répondit : non, ce n’est pas quelque chose de bon, au contraire …

    – Hum, dit le Sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s’il est Utile de me raconter ce que tu as à me dire …

    – Utile ? Pas précisément.

    – Eh bien, dit Socrate en souriant, si ce que tu as à me dire n’est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l’oublier …

    Cette petite conversation vous montre avec simplicité comment Socrate FILTRE les conversations toxiques.

    Et VOUS devriez faire comme Socrate !

    Cela semble assez logique de ne pas vouloir écouter ce qui n’est :

    • Ni vrai…
    • Ni bon…
    • Ni utile…

    Cela vous évitera d’avoir des pensées négatives qui n’ont absolument pas lieu d’être. Vous éviterez également d’avoir une mauvaise image d’autres personnes alors que vous ne savez même pas si ce que vous avez entendu est vrai.

    Ainsi je vous invite à demander à votre interlocuteur si ce qu’il s’apprête à vous raconter passe par les 3 tamis ! Et aussi à vous demander vous-même, avant de prendre la parole, si ce que vous avez à dire est vrai, bon et/ou utile.

    Avec cela vous allez déjà :

    1. Gagner du temps en évitant des conversations qui n’ont pas d’utilité et qui ne vous amusent pas.
    2. Éviter de concentrer votre attention sur le négatif.
    3. Avoir une image plus vraie et plus positive des personnes qui vous entourent.

    Pour résumer cet email, voici les 3 questions que vous devez vous poser ou poser à votre interlocuteur avant de parler de quelqu’un d’autre :

    1. Est-ce que cela est vrai ?
    2. Est-ce que cela est bon ?
    3. Est-ce que cela est utile ?

    Pensez maintenant à prendre du recul lors de vos conversations pour toujours vous poser ces 3 questions. Votre quotidien en sera tellement meilleur !Maintenant, passez à l’action et continuez d’élever votre vibration !

    Merci pour votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu. Si oui, partagez là avec vos amis et sur les réseaux sociaux. Je vous conseille aussi de vous abonner à mon blog afin de toujours recevoir mes articles au fur et à mesure de leurs publications. Comme c’est samedi, je viens vous souhaiter un bon week-end.

    Laissez vos commentaires et vos appréciations ci-dessous et je vous dis à bientôt

      Etes vous estimé à votre juste valeur

      Un père a dit à son fils : Tu as obtenu ton diplôme avec honneur, voici une voiture que j’ai acquise il y a de nombreuses années… elle date de plusieurs années.

      Mais avant de te la donner, emmène la au parking d’occasion en centre-ville et dis-leur que je veux la vendre et voir combien ils t’en offrent.
      Le fils est allé au parking d’occasion, est retourné chez son père et a dit :  » Ils m’ont offert 1,000 $ parce que ça a l’air très usé. »
      Le père a dit :  » Emmène la au prêteur sur gages. »
      Le fils est allé au prêteur sur gages, est retourné chez son père et a dit :  » Le prêteur sur gages a offert 100 $ parce que c’est une très ancienne voiture. »
      Le père a demandé à son fils d’aller dans un club automobile et de leur montrer la voiture.

      Le fils a emmené la voiture au club, est revenu et dit à son père :  » Certaines personnes dans le club ont offert 100,000 $ pour cela, car c’est une Nissan Skyline R34, voiture emblématique et recherchée par beaucoup.
      Le père a dit à son fils :  » Je voulais que tu saches que le bon endroit te valorise de la bonne façon. »…
      Si tu n’es pas valorisé, ne sois pas en colère, cela signifie que tu es au mauvais endroit.
      Ceux qui connaissent ta valeur sont ceux qui t’apprécient, et ne reste jamais dans un endroit où personne ne voit ta valeur.

      Merci pour votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu. Qu’en pensez vous? Laissez vos appréciations ci- dessus ainsi que vous questions. J’y répondrais avec grand plaisir. Dans un blog il faut échanger entre l’auteur et les lecteurs.

        Les 7 merveilles du monde

        Il fut demandé à un groupe d’élèves une
        liste de ce qu’ils croyaient être les 7
        merveilles du monde…


        Malgré un léger désaccord, ce qui suit eut
        le plus de votes :


        1. Les Pyramides d’Égypte

        2. le Taj Mahal

        3. le Grand Canyon

        4. le Canal de Panama

        5. l’Empire State Building

        6. la Basilique de St Pierre

        7. le Muraille de Chine


        Lorsque les votes furent ramassés, le
        professeur remarqua une élève qui n’avait
        rien remis.


        Elle demanda à la petite fille si elle
        avait besoin d’aide avec sa liste.


        La petite fille répliqua
        :
        « Oui, un peu, il y en a tellement que je
        ne sais lesquelles choisir ».


        Le professeur dit :
        « Bien, dis-nous ce que tu as et peut-être que
        nous pourrons t’aider… »


        La petite hésita, puis elle lut :

        « Je crois que les 7 merveilles du monde sont :


        1. Toucher

        2. Goûter

        3. Voir

        4. Entendre


        Elle hésita un peu, puis ajouta,

        5. Sentir

        6. Rire

        7. Aimer »


        Il y avait tellement de silence dans la
        pièce, qu’on aurait pu entendre une épingle
        tomber par terre.

        Les choses qu’on ne remarque pas toujours,
        qui sont aussi simples et ordinaires que ceci,
        sont définitivement merveilleuses.

        Ceci est un simple rappel, que rien n’est
        plus précieux que ce qui ne peut être acheté et
        ce qui ne peut être donné avec la gratuité du
        cœur.
        Pensez-y!

        Je vous remercie de votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu et je vous donne rendez-vous pour mon prochain article et à bientôt

        laissez vos messages ci-dessous

          Comment réagir devant une opportunité offerte?

          Le jeune Alban de R. était sur le point d’obtenir son diplôme d’université.

          Fils de bonne famille, il espérait que son père lui offre cette magnifique voiture de course rouge qu’il admirait depuis des mois dans la vitrine du concessionnaire.

          Comme la date de remise des diplômes approchait, il dit à son père qu’il désirait vraiment cette voiture.

          Le matin du jour J, Monsieur de R. convoqua son fils dans son bureau.
              
          – Mon fils, aujourd’hui plus que tout autre, je veux te dire que je t’aime et que je suis fier de toi.
          Et il déposa dans la main d’Alban une boîte entourée d’un papier cadeau.
              
          Alban arracha le papier… la boîte ne contenait qu’une bible.

          Le jeune diplômé était hors de lui.
              
          – Avec tout l’argent que vous avez, vous ne trouvez qu’une vulgaire Bible à m’offrir !
          Il lança le livre saint au visage de son père puis sortit du bureau en claquant la porte.
              
          Plusieurs années passèrent. Alban fit honneur à son diplôme et devint un brillant businessman. 
          Il vivait dans une belle demeure avec sa femme et ses deux enfants.

          Il n’avait pas revu son père depuis l’incident de la Bible.
           
          Il réalisa qu’il était vieux et seul et que, peut-être, il devrait aller lui rendre visite.
           
          Mais avant même qu’il n’organise un rendez-vous, il reçut un télégramme lui indiquant que son père venait de mourir. 
          Alban devait venir immédiatement pour s’occuper de la succession.
              
          Quand il débarqua chez son père, il fut soudain rempli d’une profonde tristesse.

          Il était un peu tard pour regretter, mais il aurait aimé dire au revoir à celui qui l’avait mis au monde.
           
          La mort dans l’âme, il se rendit dans le bureau et commença à chercher les papiers importants de son père.

          Là, au fond d’un tiroir, sa main rencontra une boîte.

          Alban la reconnut aussitôt et l’ouvrit. La Bible était comme neuve.
           
          Une larme coula sur le visage du jeune héritier quand il tourna les premières pages du livre.

          Soudain, une petite clé s’échappa de la reliure.

          Sur la tranche, Alban remarqua le nom du concessionnaire et celui de la voiture qu’il avait tant désirée.
           
          Ces mots avaient étaient ajoutés par son père : « payée, prête à être utilisée… »

          La morale de cette histoire c’est que ALBAN n’a pas eu l’occasion de se reconcilier avec son père. C’est pourquoi quand une nouvelle opportunité s’offre à vous il faut la saisir avant qu’il ne soit trop tard :vous risquez de le regretter!!

          Moi j’ai un plan B à vous proposer vue la crise sanitaire et économique que nous sommes entrain de passer ; surtout qu’un 3 plan de confinement nous pend au nez .Mon plan B est de transformer votre intérieur en OR MENAGER car nous devons manger ,mettre de l’essence dans notre voiture , en un seul mot il faut continuer à vivre. Contactez moi pour en savoir plus et que cette solution vous intéresse.

          Un grand merci pour votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu: n’hésitez pas à la partager avec vos amis!!!

            Le grain de riz

            Aujourd’hui je voudrais vous partager une histoire racontée par CHRISTIAN GODEFROY qui a pour titre « LE GRAIN DE RIZ »

            Un pauvre homme vivait en mendiant, et un jour il voit un roi passé près de lui, entouré d’une très riche cour. 
            « C’est ma chance » se dit-il « le roi va être généreux. Les rois sont toujours généreux avec les pauvres. »

            Il s’approche du cortège royal et demande l’aumône au roi.

            Celui-ci le regarde et lui demande : « Et toi, que vas-tu me donner? »

            Bien déçu, le pauvre homme sort de sa besace un paquet de riz, choisit un grain et le tend au roi.

            Et le roi s’en va.  
            Le soir, l’homme ouvre son paquet de riz et qu’elle n’est pas sa surprise lorsqu’il découvre qu’il a maintenant un grain de riz… en or.

            « Que n’ai-je pas été plus généreux!
            Pourquoi ne lui ai-je pas donné tout mon riz! »

            Le grain de riz magique
            Un grain de riz, c’est si peut, mais c’est avoir un grain de bon sens que de savoir le fructifier.
            Votre savoir, votre temps, votre amitié, et bien d’autres choses encore n’auront de valeurs que si vous savez partager.

            Notre vie est basée sur l’échange.

            Nous échangeons notre travail contre un salaire, notre argent contre des marchandises, notre attention contre une attention réciproque… et où est la générosité dans tout cela?
            Si vous êtes généreux, si vous donnez plus que vous êtes tenu de le faire, cela vous rendra-t-il plus pauvre?

            Votre savoir, votre temps, votre argent sont des graines.

            Vous pouvez les enfermer dans un coffre pour être sûr de ne pas les perdre.

            Mais vous pouvez aussi les semer, et récolter 100 fois ce que vous avez semé !
            La générosité n’a pas besoin d’être matérielle.
            Donner votre temps, partager vos connaissances, avoir une attention sont aussi des actes de générosité.

            Vous donnez peu lorsque vous donnez de vos biens.

            C’est lorsque vous donnez de vous-mêmes que vous donnez vraiment.

            Est-il seulement quelque chose que vous ne pourriez donner?

            Tout ce que vous possédez un jour sera donné;

            Donnez donc maintenant afin que votre heure de générosité soit et que ce ne soit celle de vos héritiers.

            Je veux aussi vous partager les réfléxions de CHRISTIAN GODEFROY , réflexions qui m’ont beaucoup plu.

            Vous dites volontiers: « Je veux bien donner, mais seulement à ceux qui le méritent. »
            Ce n’est pas ce que disent les arbres de vos vergers ni les troupeaux de vos pâturages.
            Ils donnent afin de vivre, car tout garder pour soi, c’est périr.
            Donnez et partager rend disponible des nouvelles découvertes et connaissances.
            Et noue des relations durable et solide entre les hommes et femmes.
            Zig Ziglar a dit un jour: « Vous pouvez obtenir tout ce que vous voulez dans la vie si vous êtes prêt à aider suffisamment de gens à obtenir ce qu’ils veulent. »

            C’est tellement vrai dans le MLM.
            1 Vous pouvez donner de votre temps pour aider autrui à répondre à leurs questions.
            2 Vous pouvez les aider à développer leurs business.
            3 Vous pouvez leur envoyer des mails avec des liens audio ou vidéo intéressants, et bien d’autres choses encore qui peut les rendre heureux.
            Chaque fois que vous hésitez à faire quelque chose pour autrui.

            Chaque fois que vous vous sentez fatiguée à faire quelque chose pour les autres.

            Chaque fois que vous pensez que cela va vous prendre du temps sur vos activités favorites.

            Chaque fois ceci, ou chaque fois cela…

            Souvenez-vous de l’histoire des grains de riz.

            Plus on donne, plus on sera riche.

            Merci pour votre visite et je vous invite à partager cette article avec vos amis et laisser vos commentaires car à quoi sert un blog si il n’y a pas d’échanges entre le créateur et les lecteurs. Je vous souhaite une bonne fin d’après-midi et de bien commencer cette nouvelle semaine malgré les mauvaises nouvelles qui vont être certainement annoncées mercredi vu la conjoncture.J’ai une solution pour sortir de cette crise et transformer votre intérieur en OR MENAGER ! Demandez moi laquelle !!

              La prosperité pour toute votre famille

              Il y a fort longtemps, un riche propriétaire de Luoyang,
              la capitable chinoise du papier, demanda au vénéré patron
              des papetiers, Cai Lun, de lui écrire quelque chose sur un
              bout de papier, mais pas n’importe quelle phrase :

              « une formule positive qui assurera la prospérité de toute ma
              lignée et qui nous donnera l’envie de vivre et de nous réjouir ! »

              Cai Lun prit une belle feuille en écorce de chanvre et
              écrivit. Son poignet avait juste terminé les lentes
              circonvolutions, que le bourgeois s’empara du papier et lut :


                « Le Père meurt, son fils meurt, son petit fils meurt »

              Furieux, il s’emporta: « Cain Lun, je t’ai demandé une
              formule qui apporterait joie et prospérité à ma famille et
              tu as tracé des lettres de mort. Je devrais te faire couper
              les mains pour cela ! »
              Le papetier sourit: « ami, ton visage s’enflamme et tu
              craches du venin contre le vent. Ecoutes: si ton fils meurt avant
              toi, ce sera un grand malheur pour toute ta famille. Si ton
              petit fils disparaît avant ton fils, ce sera également un
              terrible fardeau à porter pour ta lignée. Mais si ta famille,
              génération après génération, disparaît dans l’ordre que j’ai
              décrit, la vie suivra un cours naturel et l’ordre des choses
              sera parfaitement respecté. Car c’est cela la joie et la
              prospérité. »

              Le bonheur de l’homme ne peut s’exprimer dans le désordre.

              Il existe un cours naturel des choses, un sens, un ordre.

              C’est dans cet ordre des choses que nous nous inscrivons.

              La preuve : une des plus grandes tragédies qui peut nous
              frapper est la mort de notre enfant… une disparition qui
              n’a rien de naturel car elle survient trop tôt.
              Un bonheur, lui, arrive toujours en son temps.

              Ce petit conte nous rappelle avec simplicité que la plus
              grande prospérité n’est pas dans la possessions des choses
              matérielles, mais dans la vie elle-même.

              Un grand merci pour votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu et je vous donne rendez vous pour mon prochain article!!

              Quels sont vos objectifs pour l’année 2021 ? justement je vous en parlerais dans mon prochain article.!! Laissez moi vos commentaires car j’aimerais savoir ce que vous pensez de tout cela et comment vous réagissez à cette crise.

              Et si on vivait juste avec le cœur ouvert, pour accepter les personnes qui se présentent à nous dans notre vie, telles qu’elles sont.
              Essayez, ça change le quotidien ! La vie n’est qu’un éclair, alors, faisons en sorte que cet ’éclair soit agréable pour nous et nos proches.

                Histoire de PEPE

                Aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire d’un monsieur que j’appellerais PEPE et j’espère qu’elle vous plaira !!

                Pépé était ce type de personne que tout le monde aimerait être.
                Toujours de bonne humeur, il avait toujours quelque chose de
                positif à dire.
                Quand quelqu’un lui demandait comment il allait, il répondait
                toujours « ça ne pourrait pas aller mieux. »

                Il avait changé plusieurs fois de travail, et plusieurs de ses
                collaborateurs l’avaient suivi. La raison pour laquelle ils
                le suivaient était son attitude : C’était un leader né !

                Si un de ses employés était dans un mauvais jour,
                Pépé était là pour lui faire voir le côté positif de la situation.

                Un jour je suis allée voir Pépé et je lui ai demandé :
                – Je ne comprends pas… ce n’est pas possible d’être positif
                tout le temps, comment fais-tu ?
                – Chaque matin je me réveille et je me dis : « Pépé, tu as
                deux options aujourd’hui : tu peux choisir d’être de bonne
                ou de mauvaise humeur ».
                Je choisis le bonne humeur.

                Chaque fois que quelque chose de désagréable m’arrive,
                je peux choisir de me comporter en victime ou d’apprendre
                de l’expérience. Je choisis d’apprendre.
                Chaque fois que quelqu’un vient se plaindre, je peux accepter
                sa remarque ou lui montrer le côté positif de la vie.
                Je choisis de lui montrer le côté positif de la vie.
                – Oui bien sûr ai-je répondu, mais ce n’est pas si facile.
                – Si, ça l’est. répondit Pépé. TOUT, DANS LA VIE, EST UNE QUESTION
                DE CHOIX.
                Si tu simplifies, toute situation se résume à un choix.
                Tu choisis comment réagir devant chaque situation, tu choisis
                la façon dont les autres influencent tes états d’âme, tu choisis
                d’être de bonne ou de mauvaise humeur. En résumé, TU CHOISIS
                COMMENT VIVRE TA VIE.

                J’ai longuement réfléchi à ce que Pépé m’avait dit.
                Pour des questions de résidence, nous avions perdu le contact
                mais je pensais souvent à Pépé quand je devais faire un choix.

                Plusieurs années plus tard, j’appris que Pépé avait fait une chose
                qu’il ne faut jamais faire. Il avait laissé une porte ouverte et
                un matin, trois voleurs armés vinrent cambrioler sa société.


                Quand Pépé, tremblant de peur, essaya d’ouvrir le coffre-fort,
                sa main glissa. Les voleurs, pris de panique, lui tirèrent dessus.
                On trouva Pépé relativement vite, on l’emmena d’urgence
                à l’hôpital.


                Après 8 h d’opération, et de longues semaines de rééducation,
                Pépé sortit de l’hôpital avec encore quelques fragments de balles
                dans le corps.


                Six mois plus tard je retrouve Pépé et quand je lui demande
                comment il va, il me dit invariablement « impossible d’aller mieux ».

                Quand je lui demande ce qui lui était passé par la tête le jour
                du cambriolage, il me répond :


                – Quand j’étais blessé, allongé par terre, je me suis souvenu que
                j’avais deux options, je pouvais vivre ou mourir. J’ai choisi de vivre.


                – Tu n’as pas eu peur ?


                – Les médecins ont été fantastiques et ne se lassaient pas de me dire
                que tout allait bien se passer. Pourtant quand ils m’ont emmené au
                bloc opératoire, quand j’ai vu l’expression de leur visage, j’ai
                vraiment pris peur.


                Je pouvais lire dans leur regard « cet homme est un homme mort ».
                J’ai alors su que je devais prendre une décision.


                – Qu’as-tu fait ?


                – Quand un des médecins m’a demandé si j’étais allergique à quelque
                chose, prenant une profonde inspiration j’ai crié : « oui aux balles ».


                Pendant qu’ils riaient, je leur ai dit : « je choisis de vivre. Opérez-moi
                comme si j’étais vivant, pas comme si j’étais mort ».


                Quelle GRANDE leçon de vie pouvons-nous tirer de cette histoire ?


                Pépé a survécu grâce aux médecins, mais surtout grâce à sa surprenante
                attitude positive. Il avait appris que chaque jour, nous avons le choix de
                vivre pleinement ou non.


                Comme Jésus-Christ mort sur la Croix pour le Salut des hommes,
                Pépé a gardé une attitude positive jusqu’à la dernière minute.


                L’attitude, c’est tout ce qui importe. Et finalement dans tout ce que
                nous sommes, comment nous nous sentons, comment les
                autres nous voient et comment nous vivons, seuls nous prenons la
                décision.


                Vous pouvez choisir comme Pépé d’être positif en toute Circonstance,
                (ce qui attirer toujours plus de bonheur dans votre vie), ou adopter une
                attitude Négative et voir le mal en tout( ce qui attirer TOUJOURS plus de
                Malheur dans notre vie)


                En UN SEUL mot « par votre Attitude, vous choisissez VOTRE VIE »


                Et souvenez-vous.


                Ceux qui se frustrent sont ceux qui n’ont pas su voir le côté
                positif de leurs résultats et de leur vie…


                En vous, en chaque personne, en chaque situation, même
                la plus négative en apparence, il y a toujours un côté positif.


                Maintenant, vous avez deux options :


                1- Supprimer ce message et faire comme si ne l’aviez jamais reçu.


                2- Le transférer à tous ceux que vous aimez et appréciez, même
                si cela revient à le renvoyer à la personne qui vous l’a transmis.


                Moi j’ai choisis de vous envoyer ce message car, Je vous AIME.


                Et vous ?

                À combien de personnes allez-vous le transmettre
                pour étendre d’avantage cette chaîne d’Amour ?


                Alors, Transféré ce message en tous ceux que vous aimez.


                Mais n’oubliez pas votre Cadeau ci-dessous.


                Votre cadeau.

                Comme vous le savez sans doute, avoir une attitude positive ne se fait
                pas du jour au lendemain. C’est quelque chose qui s’apprend, et cet
                apprentissage peut parfois nécessiter toute une vie.

                Mais il faut toujours et surtout croire à votre chance. 

                Aujourd’hui par Exemple, l’expert immobilier David Davilla, (le gars spécialisé dans l’achat de maison sans sortir le moindre centime de sa poche) fait un pari fou. faire gagner à une personne une maison.

                • Si nous n’essayez jamais, vous échouerez toujours,
                • Si vous ne demandez pas, la réponse sera toujours non. 
                • Si vous ne passez pas à l’action, vous ne réussirez jamais rien dans la vie. 
                • Pas parce que vous ne pouvez pas, mais simplement parce que vous n’osez jamais

                Un très grand merci de votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu; Si oui n’hésitez pas à la partager à vos amis par mail ou sur les réseaux sociaux. Je vous donne aussi rendez vous dans mon prochain article !!!

                  Histoire du jour


                  Laissez-moi vous raconter une petite histoire.

                  Il y a 5 ans, il y avait 2 amis qui s’appelaient Leon et Ana. 

                  À peu près à la même époque, ils décident tous les deux de créer leur propre affaire.

                  Ils avaient tous deux une expérience, une intelligence et des compétences très similaires. 

                  Et tous deux rêvaient d’une vie de liberté où ils pourraient faire ce qu’ils aimaient et être bien payés pour le faire.

                  Mais 5 ans plus tard, ils vivent tous les deux des vies très différentes.

                  L’entreprise d’Ana a connu une croissance rapide. 

                  Ana possède une entreprise florissante qui lui permet de voyager quand elle le souhaite, d’acheter de belles choses, et de ne jamais être inquiète à l’idée de se demander d’où viendra son prochain client. 

                  Elle est heureuse et travaille moins que jamais.

                  Léon, quant à lui…

                  … ne va pas aussi bien. 

                  Les prospects et clients n’arrivent pas.

                  Il aimerait pouvoir travailler moins, emmener ses enfants pour les vacances de leurs rêves.

                  Léon ne peut pas s’empêcher de regarder Ana de temps en temps et d’être un peu jaloux de sa situation…

                  Qu’est-ce qui a fait la différence?

                  Eh bien, dans la plupart des cas comme celui-ci… 

                  Ce n’est généralement qu’une chose. 

                  Leur visibilité.

                  Vous voyez, la plupart des entreprises ont rarement un de problème de produit.

                  C’est leur visibilité qui les fait souffrir.

                  Elles ne savent pas comment se faire connaître, expliquer leur valeur et obtenir un arrivage régulier de nouveaux clients. 

                  Merci de votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu. Nous sommes à l’aube de la nouvelle année 2021 !!

                  Avez vous fait la liste de vos objectifs pour 2021? Voulez vous transformer votre intérieur en OR MENAGER ? Si oui laissez moi un commentaire et je vous donnerais mon PLAN B car il existe et je l’utilise pour notre plus grand bonheur depuis 3 ans :ainsi nous pouvons augmenter notre pouvoir d’achat.

                  Pour terminer cet article j’espère que vous terminerez bien cette année et que vous commencerez bien l’ANNEE 2021. Je vous dis à bientôt dans mon prochain article !

                    La personne la plus importante

                    bienvenue sur mon blog

                    « La Personne la PLUS Importante de ta Vie »
                    Un jour un professeur de psychologie est entré dans la salle, et a dit à ses étudiants : *«Jouons tous à un jeu !»*
                    Le professeur a demandé un volontaire pour l’exercice.Une femme s’est présentée.
                    Le professeur lui a demandé d’écrire au tableau, le nom des *trente (30) personnes les plus importantes de sa vie.*
                    La femme a écrit le nom de ses *proches*, de ses *parents*, de ses *amis*, de ses *collègues* et de ses *voisins*.
                    Le professeur lui a demandé *d’effacer trois (03) noms*, qu’elle considérait comme *moins importants.*
                    La femme a effacé le nom de ses *collègues.*
                    Le professeur lui a encore demandé de *supprimer cinq (05) autres noms.*
                    Elle a effacé le nom de ses *voisins.*
                    Il a continué la manoeuvre, jusqu’à ce qu’il n’y ait *plus que quatre (04) noms au tableau.*
                    Ce sont les noms de sa *mère*, son *père*, son *mari* et son *fils*.

                    La classe entière est devenue silencieuse, en se rendant compte que ce n’était plus un jeu pour la femme seule.
                    Maintenant, le professeur lui a demandé de *supprimer deux (02) autres noms*.
                    C’était un choix très difficile pour la femme
                    Elle a supprimé le nom de *ses parents*.
                    « S’il vous plaît, *supprimez un (01) de plus* », a demandé l’enseignant.
                    La femme est devenue très nerveuse et, les mains tremblantes et les larmes aux yeux, elle a supprimé le nom de *son fils*.
                    La femme a pleuré douloureusement.
                    Le professeur lui a alors demandé de s’asseoir.
                    Au bout d’un moment, le professeur a demandé :
                    * »Pourquoi avoir conservé votre mari ?*
                    Les parents ne vous ont-ils pas engendrée et nourrie, et votre fils, n’est-il pas le fruit de vos entrailles ?Et vous pouvez toujours trouver un autre mari, non ? « 
                    C’était le silence total dans la classe.
                    Tout le monde était curieux de connaître sa réponse.
                    La femme a calmement et lentement dit :«Un jour, mes parents pourront *trépasser avant moi* ». Mon fils pourra aussi *me quitter en grandissant*, pour ses études ou ses affaires, ou quelle que soit la raison. *Le seul qui partagera véritablement toute sa vie avec moi, c’est mon mari « *.
                    Tous les étudiants se sont levés, et l’ont applaudie pour avoir partagé *cette vérité de la vie.*
                    C’est vrai, et c’est un fait de la vie.
                    Dieu a créé *le mariage* pour et c’est *une relation pour la vie.*Il faut toujours *valoriser votre partenaire de vie*. Ce n’est pas seulement valable pour *les maris,* mais aussi pour *les femmes.*
                    Dieu a uni ces deux âmes comme une seule, et c’est à vous de nourrir cette relation, avant celle que vous avez avec les amis, les proches et la famille.

                    Si tu a pu lire jusqu’à la fin, fais un effort de le partager à tes proches. Qui sait, Ceci peut sauver un foyer! 

                    Mais ce n’es pas tout:

                    Connaître ce qui est vraiment important dans votre vie est ce qui fait la différence.

                    Alors, apprenez à créer quotidiennement la vie qui vous ressemble,
                    une vie plus riche, une vie plus heureuse.

                    Merci de votre visite et je vous souhaite un bon week-end!! Aimeriez vous transformer votre intérieur en OR MENAGER et pouvoir faire vos achats gratuitement et même toucher des commissions ?? C’est mon cas et voulez savoir comment!! Inscrivez « INFOS » en commentaire!!

                    et pour terminer cet article voici une citation positive qui va éclairer votre vie

                      Qui fait obstacle à votre évolution

                      je cree ma reussite

                      « La personne qui fait obstacle à votre évolution dans la société »
                      Un jour au travail, le patron demande à un de ses employés
                      de venir dans son bureau pour une discussion. Le parton
                      dit à l’employé…

                      “La personne qui a fait obstacle à votre
                      évolution dans cette société est dans la pièce à côté.

                      L’employé fût surprise… elle se demandait qui était
                      cette personne qui lui avait fait une si vilaine chose ?

                      Qui a pu faire obstacle à son évolution dans la société ?

                      Le patron a continué sa conversation en disant qu’il
                      était très important qu’elle se confronte directement
                      avec cette personne.

                      Elle devenait très curieuse et pénétra dans la pièce à côté.

                      Quand elle entra dans la pièce, elle fût choquée, sans
                      voix et silencieuse comme si quelqu’un avait touché la
                      partie la plus profonde de son âme.

                      Pouvez-vous deviner qui elle a-t-elle vu dans la pièce ?

                      Il y avait une pièce vide avec un grand miroir et un panneau à
                      côté de lui.

                      L’employée a regardé dans le miroir et a lu le panneau qui disait …

                      « Il n’y a qu’une seule personne qui soit en mesure de fixer des
                      limites à votre évolution: c’est VOUS. »

                      Quelle leçon pouvez vous apprendre de cette histoire.

                      Votre vie ne peut changer que si vous vous changez vous-même. Si vous ne passez pas à l’action , rien ne changera. Vous êtes le seul responsable de votre vie. Tenez le pour dit car c’est important que vous réagissiez maintenant car après ce sera trop tard. En plus nous arrivons vers la nouvelle année donc il faut penser à vos objectifs pour l’année 2021

                      Je vous remercie de votre visite et que pensez vous de cet article. Est ce que cette histoire vous a plu. Je vous donne donc rendez-vous dans mon prochain article.Je vous souhaite aussi une bonne journée ou une bonne soirée suivant l’endroit où vous habitez !

                        Une jolie fable qui vous guérit de la jalousie.

                        Je veux partager avec vous cette fable qui m’a beaucoup plu!

                        Le Grillon, de Jean-Pierre Claris de Florian (1755-1794)

                        Un pauvre petit grillon,
                        caché dans l’herbe fleurie ,
                        regardait un papillon voltigeant dans la prairie.

                        L’insecte ailé brillait des plus vives couleurs ;

                        L’azur, la pourpre et l’or éclataient sur ses ailes ;

                        Jeune, beau, petit maître, il court de fleurs en fleurs,

                        Prenant et quittant les plus belles.

                        Ah! disait le grillon, que son sort et le mien

                        Sont différents ! Dame nature

                        Pour lui fit tout, et pour moi rien.

                        je n’ai point de talent, encor moins de figure.

                        Nul ne prend garde à moi, l’on m’ignore ici-bas :

                        Autant vaudrait n’exister pas.

                        Comme il parlait, dans la prairie

                        Arrive une troupe d’enfants :

                        Aussitôt les voilà courants

                        Après ce papillon dont ils ont tous envie.

                        Chapeaux, mouchoirs, bonnets, servent à l’attraper ;

                        L’insecte vainement cherche à leur échapper,

                        Il devient bientôt leur conquête.

                        L’un le saisit par l’aile, un autre par le corps ;

                        Un troisième survient, et le prend par la tête :

                        Il ne fallait pas tant d’efforts

                        Pour déchirer la pauvre bête.

                        Oh! oh! dit le grillon, je ne suis plus fâché ;

                        Il en coûte trop cher pour briller dans le monde.

                        Combien je vais aimer ma retraite profonde !

                        Pour vivre heureux, vivons caché.

                        Merci pour votre visite ! Avez vous apprécié cette fable? Quel thème aimeriez vous voir traiter dans mon blog : developpement personnel ,comment améliorer votre pouvoir d’achat , comment transformer votre intérieur en OR MENAGER , autres sujets? Je vous donne rendez vous dans mon prochain article.

                          Histoire d’un jeune homme

                          Bonjour à tous

                          Aujourd’hui je voudrais vous partager cette histoire véridique d »une personne qui a beaucoup souffert jusqu’au jour où elle s’est réveillée et a pris la décision d’avoir confiance en elle!!


                          Il souffre parce qu’il manque de confiance en lui, il souffre parce qu’il n’arrive pas à aborder cette fille qui lui plaît tant à la sortie du lycée, il souffre parce qu’il n’aime pas son corps, il souffre parce qu’il n’arrive pas à communiquer avec ses proches, encore moins avec ses parents. Il souffre parce qu’il sent qu’il n’a pas le contrôle de sa vie et de sa destinée.

                          Parfois, des idées noires lui passent par la tête. À quoi bon continuer si la vie ressemble à ça ?

                          Puis arrive un jour où il en marre (et où ses proches en ont marre !), marre de se plaindre, marre que sa vie ne soit pas celle qu’il désire, marre de faire ce qui ne lui plaît pas, marre de ne pas oser, marre d’avoir peur du regard des autres, il n’en peut plus de vivre ce qu’il vit, il ne veut plus avoir moins que ce qu’il pourrait avoir, faire moins que ce qu’il pourrait faire, il ne veut plus se limiter à moins que ce qu’il pourrait être.

                          Un jour sa mère lui dit une phrase qui va le marquer pour toute sa vie:

                          « Si ta vie ne te va pas, tu la changes, mais tu arrêtes de te plaindre ! »

                          Ce jour-là, ce jeune homme s’est réveillé et a pris une décision: celle de se créer une vie qui l’inspire.

                          Je vous remercie de votre visite et j’espère que cette histoire vous a plu. Donc si vous êtes dans la même situation, réveillez vous et prenez votre vie en main pour la changer!!

                            Mon histoire du dimanche

                            J’aimerais vous raconter une parabole – une histoire :

                            Cette parabole dit qu’un jour, lors d’un cours de poterie, le professeur entra dans l’atelier et annonça aux élèves :

                            « Tous ceux qui sont assis à ma droite formeront un groupe. »

                            « Je vous confierai 15 kg d’argile. »

                            « Votre mission sera de façonner autant de vases uniques que possible. Votre objectif est donc la quantité. »

                            Puis le professeur se tourna vers l’autre moitié de la classe.

                            « Tous ceux qui sont assis à ma gauche formeront un deuxième groupe. »

                            « Je vous confierai aussi 15 kg d’argile. »

                            « Votre mission sera de façonner un vase, qui soit le plus beau et le plus parfait possible. Votre objectif est donc la qualité. »

                            « Je vous laisse 6 mois pour réaliser ce projet. »

                            Après 6 mois, le professeur vint inspecter les vases créés.

                            Les élèves du groupe qualité avaient disposé leur « vase parfait » sur un guéridon.

                            Les élèves du groupe quantité avaient disposé leurs nombreux vases sur une immense bibliothèque. Sur le rayonnage du bas se trouvaient leurs créations du premier mois – maladroites, difformes, et peu nombreuses.

                            Sur les rayonnages à hauteur de la ceinture, se trouvaient des vases plus récents. Ils étaient plus remplis que les rayonnages du bas. De mois en mois, les élèves étaient capables de produire de plus en plus de vases – leur savoir-faire avait progressé.

                            Mais de façon surprenante, ces vases plus récents étaient également plus harmonieux et réussis.

                            Sur le rayonnage du haut se trouvaient leurs créations les plus récentes. Le rayonnage était plein à craquer, tant ils avaient produit de vases durant le dernier mois.

                            Le professeur monta sur une échelle, saisit l’un des vases les plus récents, et le plaça sur le guéridon, à côté du « vase parfait » du groupe qualité.

                            Toute la classe fut ébahie tant le contraste était fort :

                            Le « vase parfait » était sans conteste moins beau, moins harmonieux et moins réussi que le vase récent du groupe quantité.

                            Le professeur demanda aux élèves du groupe quantité :

                            « Avez-vous abandonné votre objectif de quantité pour faire de la qualité ? »

                            Les élèves répondirent :

                            « Non, non, nous n’avons pas changé de méthode, ni d’objectif. Mais, nous avons remarqué que nous avons augmenté notre capacité de production de mois en mois. »

                            Les élèves ajoutèrent :

                            « Mais, Professeur, comment est-il possible que nous ayons produit un chef-d’œuvre sans le vouloir ? »

                            Le professeur répondit, avec un sourire entendu :

                            « En continuant d’aller de l’avant, sans être arrêtés par les erreurs, vous avez parfait votre art, au point de créer un chef-d’œuvre. »

                            « À présent appliquez cette méthode dans vos vies. Allez de l’avant avec enthousiasme. Ne restez pas bloqués sur vos erreurs. N’ayez crainte de vous tromper. N’espérez pas produire quelque chose de parfait du premier coup. »

                            Je vous remercie de votre visite et je vous souhaite un bon dimanche. Avez vous déjà pensé à vos projets pour la nouvelle année 2021 ; moi oui ,je veux transformer mon intérieur en OR MENAGER.

                              Mon histoire du jour

                              Un vieux grand-père, alors que son petit-fils rentre de l’école rempli de colère parce qu’un camarade de classe lui a fait du tort, disait :

                              « Laisse-moi te raconter une histoire. Moi aussi, j’avais parfois beaucoup de haine envers les gens qui me faisaient du mal sans jamais ressentir aucun remord. Mais la haine te détruit et n’a aucun effet sur ton ennemi.

                              C’est comme boire du poison en espérant que ça tue ton ennemi. J’ai dû lutter contre ces sentiments de nombreuses fois dans ma vie. »

                              Il poursuivit :

                              « C’est comme s’il y avait 2 petits bonshommes qui vivent en moi. L’un d’eux est gentil et ne fait jamais de mal. Il vit en paix et harmonie avec son entourage et n’agresse jamais sans raison. Il ne se battra seulement que quand c’est justifié, et ce, de façon loyale. »

                              « L’autre bonhomme, par contre, est rempli de haine. Il se met hors de lui pour un rien. Il agresse les autres comme ça, sans raison apparente. Il est incapable de raisonner, tellement sa haine et sa colère sont grandes.

                              Ce fut très difficile pour moi de vivre avec ces 2 bonhommes à l’intérieur car chacun d’eux lutte pour contrôler mon esprit. »


                              Le petit garçon regarde intensément son grand-père dans les yeux et demande :

                              « Lequel a gagné, grand-père ? »

                              Le grand-père répondit :

                              « Celui que j’ai nourri »

                              Auteur inconnu

                              Et vous ? lequel nourrissez vous ?

                              Voici la citation du jour :

                              « Qui veut changer trouvera toujours une bonne raison pour changer »

                              De : André Maurois

                              Merci pour votre visite et je vous souhaite un bon week-end. Avant de vous quitter aimeriez vous savoir comment transformer votre intérieur en OR MENAGER ?Si oui laissez moi un commentaire.

                                Qu’est ce qui peut arriver de pire

                                « La pire des choses qui puisse arriver ? Peut-être bien que non ! »

                                Il était une fois un village qui avait parmi ses habitants un vieil homme très sage. Les villageois avaient confiance en cet homme pour leur fournir les réponses à leurs questions et soucis.


                                Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit d’un ton alarmé :
                                « Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient d’arriver. Mon bœuf est mort et je n’ai plus d’animal pour m’aider à labourer mon champ ! N’est-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? »
                                Le vieil homme sage répondit « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».


                                L’homme furieux retourna au village et rapporta à ses voisins que le sage était devenu fou. Bien sûr que c’était la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça .


                                Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu près de la ferme de l’homme. Parce qu’il n’avait plus de bœuf sur lequel compter, il eut l’idée d’attraper le cheval pour remplacer son bœuf et c’est ce qu’il fit.
                                Comme le fermier était heureux ! Labourer le champ n’avait jamais été aussi facile. Il retourna voir le sage pour s’excuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bœuf n’était pas la pire des choses qui pouvait arriver. C’était une bénédiction cachée !


                                Je n’aurais jamais capturé mon nouveau cheval si cela ne s’était pas produit. Vous devez admettre cette fois que c’est la meilleure chose qui puisse survenir ».
                                Le sage répondit une fois encore « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. C’est sûr, le vieux sage était à présent devenu complètement fou.


                                Mais, de nouveau, l’homme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans l’incapacité de faire la récolte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ».


                                Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval n’était pas la pire des choses qui puisse m’arriver ? Vous aviez encore raison.


                                Mon fils est blessé et se trouve dans l’incapacité de m’aider pour la récolte. Cette fois je suis sûr que c’est la pire des choses qui puisse m’arriver. Et vous devez en convenir cette fois. »


                                Mais tout comme il l’avait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui répondit : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».
                                Enragé que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village.


                                Le jour suivant, des soldats arrivèrent pour enrôler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste d’éclater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village à ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sûrement.


                                Morale de l’Histoire
                                La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante.
                                La vérité est que nous ne savons jamais ce qui va se passer – nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec d’autres situations passées qui ne sont probablement pas le reflet du futur.
                                Un optimiste voit des opportunités dans les difficultés.

                                Je vous remercie de votre visite et j’espére que cette histoire vous a plu.

                                Quels conseils aimeriez vous recevoir pour améliorer le style de votre vie? Si oui laissez vos messages dans la rubrique ‘ » commentaire » ou remplissez le formulaire « contact » en me donnant vos appréciations.

                                  Le soulier de JEAN MARIE

                                  « Le Soulier de Jean Marie »

                                  Enfoncant dans les poches de sa culotte ses mains glacées,

                                  Jean Marie, qu’on avait envoyé en commission à Saint Geniès,

                                  s’en revenait à la ferme d’Estacobiau.

                                  Devant lui, sur le chemin tout craquant de givre, trottinaient

                                  deux petits garçons de son âge, bien vêtus, bien chaussés, avec un

                                  bon béret enfoncé sur les yeux, et tout autour du cou, un cache-nez de

                                  tricot : car on était au cœur de l’hiver.

                                  Ceux là revenaient de l’école : on le voyait au petit sac de cuir

                                  qu’ils portaient en bandoulière sur l’épaule gauche. Lui, Jean Marie,

                                  ne connaissait pas un pareil luxe et n’avait pas le temps d’aller à

                                  l’école.

                                  Mener aux champs les oies et les dindons d’Estacobiau, les

                                  empêcher d’aller faire du dégât dans les terres labourées, leur écraser

                                  le matin les « patanos » avec la farine de maïs, c’était toute la science

                                  de Jean Marie.

                                  Marchant vite pour se réchauffer, il rattrapa les écoliers.

                                  « Eh ! Adieu, Jean Marie ! » Cria l’un d’eux.

                                  Au même moment, le son joyeux et grêle des cloches de Saint

                                  Geniès se fit entendre

                                  « C’est pour Noël », dit Julien, le plus grand des deux garçons.

                                  Les cloches nous disent : « N’oubliez pas ce soir de mettre vos souliers

                                  dans la cheminée ! »

                                  La conversation s’engagea entre les trois enfants.

                                  Jean Marie, qui n’avait jamais entendu parler de souliers dans

                                  la cheminée, se renseignait et les autres prenaient plaisir à l’instruire.

                                  « Mais qui donc met les bonnes choses dans les souliers ?

                                  demandait-il, très intéressé.

                                  — On ne sait pas trop, fit Julien. Les uns disent le bonhomme Noël ;

                                  les autres, le petit Jésus.

                                  — E puis, remarqua Marius un gros joufflu qui n’avait pas

                                  plus de cinq ans, qu’est’ e que ça fait, pourvu qu’on trouve du bon ?

                                  — Bien sûr ! approuva Jean-Marie. Et alors… tout le monde

                                  trouve quelque chose dans les souliers ?

                                  — Excepté les désobéissants et les menteurs, à ce que dit

                                  maman. Moi, j’ai toujours trouvé quelque chose. »

                                  Ceci fut dit avec une noble fierté.

                                  De nouveau seul sur le chemin, Jean Marie songeait.

                                  Trouver des noix, du chocolat, des dragées dans un soulier,

                                  quelle belle chose ! Des dragées, il n’en avait mangé qu’une fois

                                  dans sa vie, mais il en avait gardé le goût au bout de la langue.

                                  Et pourquoi n’essaierait-il pas, lui aussi ? Marius avait dit : excepté les

                                  désobéissants et les menteurs.

                                  Or Jean Marie était bien sûr de n’être ni l’un ni l’autre. Le jour

                                  où il avait cassé la terrine des dindons, quand on lui avait demandé

                                  qui avait fait ce malheur, il avait répondu que c’était lui, malgré sa

                                  grande peur d’être grondé et Mme Espagnac, la fermière, lui avait

                                  pardonné sa maladresse en faveur de sa franchise.

                                  Mais quoi ! Tout à coup Jean Marie s’est arrêté.

                                  L’œil agrandi, la bouche ouverte, il contemple avec une sorte

                                  d’effroi le bout de ses pieds nus. Comment mettra-t-il ses souliers

                                  dans la cheminée, lui qui n’a pas de souliers ?

                                  Il ne se souvient pas d’en avoir jamais eus, et jusqu’ici cela lui

                                  a été bien égal : la peau de ses pieds s’est durcie comme une semelle,

                                  il ne sent pas les cailloux de la route.

                                  Mais ne pas pouvoir mettre son soulier dans la cheminée,

                                  quel malheur ! Jamais comme en ce moment l’orphelin n’a senti sa

                                  senti sa misère : son cœur se gonfle, il va pleurer.

                                  Non, cependant. Jean Marie est courageux, habitué à se tirer d’affaire

                                  dans les cas difficiles. Il n’est pas sot non plus ; et voilà qu’une

                                  idée se présente à son cerveau. Des souliers, on en trouve quelquefois

                                  dans les fossés, le long des haies… Oh ! Pas des souliers neufs, pour

                                  sûr mais le bonhomme Noël, qui descend dans les cheminées, les

                                  mains pleines de cadeaux, ne doit pas regarder à cela. Il doit savoir

                                  que quand on est pauvre, on n’a pas toujours des souliers neufs à sa

                                  disposition…

                                  De ses yeux de sept ans, Jean Marié inspecte les bords du

                                  chemin. Sur les berges garnies de ronces, dans les fossés boueux, sous s

                                  les touffes d’églantiers, il tâte, il fouille… et voilà que tout à coup son

                                  regard brille : il a trouvé ce qu’il cherchait.

                                  Pourtant cet objet sans forme ni couleur, dont un chiffonnier

                                  ne voudrait pas, mérite t-il encore le nom de soulier ? N’importe. Le

                                  petit garçon le serre dans ses bras avec amour. En cinq minutes il est

                                  à la ferme d’Estacobiau.

                                  Dans un coin de la grande cheminée où flambe un feu de souches,

                                  il a placé le vieux soulier.

                                  Et maintenant, tout en pelant les pommes de terre pour le dîner

                                  du soir, il le surveille du coin de l’œil : on ne le voit pas trop dans cet

                                  angle un peu obscur Jean Marie fait des voeux pour qu’il échappe

                                  aux regards vigilants de Mme Espagnac.

                                  Celle-ci justement, voulant remettre de la braise sous le pot où

                                  cuit la soupe, s’approche du feu : pour se donner du cœur,

                                  Jean-Marie joue à la « baloche » de Montastruc.

                                  « Qu’est ce que c’est que cette saleté ‘là ? s’écrie la fermière.

                                  Qui est ce qui m’a traîné cette vieille semelle dans le coin de la

                                  cheminée ? C’est toi, Briquette ! »

                                  Un coup de pied à l’innocente petite chienne, qui le reçoit sans

                                  protester. Puis Mme Espagnac attrape le vieux soulier du bout de ses

                                  pincettes et l’envoie se promener dans la cour.

                                  Le nez sur les pommes de terre qu’il épluche, Jean Marie se garde bien

                                  de souffler.

                                  « J’irai le rechercher tout à l’heure, » se dit-il. Sa besogne

                                  terminée, il sort doucement. Retrouver le soulier, c’est bien facile :

                                  ce qui l’est moins, c’est de s’en servir. Le replacer où il était, il

                                  n’y faut pas songer à présent : Mme Espagnac est une bonne femme,

                                  mais qu’il faut se garder d’impatienter. Cependant il n’y a pas dans

                                  la ferme d’autre cheminée que celle de la cuisine. Venir ce soir à tout

                                  petits pas, quand tout le monde sera couché, remettre le soulier ? Mais

                                  Mme Espagnac se couche si tard ! La savate à la main, le pauvre petit

                                  reste là, bien perplexe…

                                  « Eh ! Bonsoir, Jean Marie ! » Dit une petite voix tout près de lui.

                                  Levant la tête, il a reconnu Marguerite, ordinairement appelée

                                  Margalidou : c’est la fille unique de M. le maire, une jolie petite fille

                                  de six ans. Presque chaque jour, elle vient avec sa bonne à l’heure où

                                  l’on trait les vaches, chercher le lait. Elle est gentille et a toujours un

                                  mot aimable pour le petit pâtre d’Estacobiau, qu’elle plaint de tout son

                                  coeur en pensant qu’il n’a plus de maman.

                                  Et tout à coup la pensée vient au petit garçon de confier ses

                                  soucis à Margalidou : qui sait si elle n’aura pas une bonne idée ?

                                  Bien sûr, elle mettra ce soir dans la cheminée ses mignonnes petites

                                  bottines.

                                  Tandis que de nouveau la cloche argentine de Saint Geniès

                                  annonce la fête, joyeusement, les deux enfants causent à voix basse.

                                  « Rien de plus aisé, Jean Marie, a dit Margalidou. Donne-moi

                                  le soulier. Ce soir je le mettrai près du mien dans la cheminée de

                                  maman. Chez nous, pas de danger qu’on te le jette par la fenêtre,

                                  pauvrot ! Demain matin, tu viendras voir, et j’espère bien… »

                                  Mais chut ! voici la bonne avec le pot au lait. La petite fille

                                  court la rejoindre, emportant sous son grand manteau tout l’espoir de

                                  Jean Marie.

                                  … Qui fut bien surprise, ce soir là, ce fut la mère de Marguerite,

                                  en trouvant dans sa cheminée, près des fines chaussures de sa fille,

                                  Un informe soulier tout éculé. Tout naturellement, elle interrogea.

                                  Or, Margalidou n’avait pas de secrets pour sa maman : sans

                                  nulle difficulté, elle raconta l’histoire du petit pâtre d’Estacobiau.

                                  « Vois-tu, ajouta-t-elle en finissant, j’ai demandé au petit Jésus

                                  de partager en deux ce qu’il avait l’intention de me donner. Penses-tu

                                  qu’il voudra bien mettre la moitié de mes cadeaux dans le soulier de

                                  Jean Marie ? »

                                  Obligée de se détourner pour essuyer une larme, la maman ne

                                  répondit pas aussitôt. Quel beau Noël Margalidou lui procurait sans

                                  y penser ! Car rien ne réjouit plus un cœur de mère que de trouver la

                                  bonté dans celui de son enfant.

                                  « Oui ma chérie, oui, dit-elle en embrassant la petite fille, je

                                  suis sûre qu’il le voudra ! »

                                  Le lendemain de bonne heure, le petit berger s’en vint sonner

                                  chez M. le maire. Bien poliment, le béret à la main, il venait demander

                                  des nouvelles de son soulier. La bonne avait des ordres et le conduisit

                                  dans la chambre où l’attendait Margalidou. Bien doucement, on leva

                                  le rideau de la cheminée…

                                  « Viens voir ! Viens voir ! » Criait la petite fille, battant des

                                  mains.

                                  Mais Jean Marie, la bouche ouverte, semblait paralysé de

                                  surprise et de joie. Le vieux soulier tout éventré débordait de pralines

                                  et de sucres d’orge. De plus, tout au milieu des friandises, — et si

                                  grosse que le pauvre petit n’en avait jamais vu de si grosse ! — on

                                  voyait briller une pièce d’argent.

                                  Si tu fais l’effort de rendre chaque jour rendre une personne heureuse

                                  par ton action, aussi petite soit-elle, ta vie deviendra une succession

                                  de bonheur infinie.

                                  « Un enfant à qui on enseigne la bonté, est un trésor qui ne périra jamais »

                                  Un grand merci d’avoir lu mon article !Si vous voulez transformer votre INTERIEUR en OR MENAGER cliquez sur ce lien et laissez vos coordonnées pour que je puisse vous donner d’autres infirmations et vous envoyer une petite video explicative

                                  https://robertkucera24-my-cheetah-website.cheetah.builderall.com

                                    Mon histoire du dimanche

                                    « La personne qui fait obstacle à votre évolution dans la société »
                                    Un jour au travail, le patron demande à un de ses employés
                                    de venir dans son bureau pour une discussion. Le parton
                                    dit à l’employé…

                                    “La personne qui a fait obstacle à votre
                                    évolution dans cette société est dans la pièce à côté

                                    L’employée fût surprise… elle se demandait qui était
                                    cette personne qui lui avait fait une si vilaine chose ?

                                    Qui a pu faire obstacle à son évolution dans la société ?

                                    Le patron a continué sa conversation en disant qu’il
                                    était très important qu’elle se confronte directement
                                    avec cette personne.

                                    Elle devenait très curieuse et pénétra dans la pièce à côté.

                                    Quand elle entra dans la pièce, elle fût choquée, sans
                                    voix et silencieuse comme si quelqu’un avait touché la
                                    partie la plus profonde de son âme.

                                    Pouvez-vous deviner qui elle a-t-elle vu dans la pièce ?

                                    Il y avait une pièce vide avec un grand miroir et un panneau à
                                    côté de lui.

                                    L’employée a regardé dans le miroir et a lu le panneau qui disait …

                                    « Il n’y a qu’une seule personne qui soit en mesure de fixer des
                                    limites à votre évolution: c’est VOUS. »

                                    Vous êtes la seule personne qui peut révolutionner votre vie …
                                    qui peut influencer votre bonheur, votre réalisation et votre succès.

                                    VOUS êtes la seule personne qui peut vous aider.

                                    ***La Leçon

                                    Votre vie ne change pas quand d’autres changent …
                                    les changements de partenaires, lorsque votre entreprise
                                    change.

                                    VOTRE VIE CHANGE QUAND VOUS CHANGEZ,

                                    – quand vous allez au-delà de vos croyances limitatives,
                                    – quand vous réalisez que vous êtes le seul responsable de votre vie

                                    La relation la plus importante que vous pouvez avoir est
                                    celle que vous avez avec vous-même!

                                    Le monde est comme un miroir: il vous renvoie le reflet
                                    des pensées dans lesquelles vous avez fortement cru.

                                    Le monde et votre réalité sont comme des miroirs
                                    accrochés au mur, qui vous montrent la possibilité
                                    d’imaginer et de créer votre bonheur et votre succès.

                                    C’est la façon dont vous faites face à la vie qui fait la différence.

                                    Alors, apprenez à créer quotidiennement la vie qui vous ressemble,
                                    une vie plus riche, une vie plus heureuse.